LRC歌词
[02:29.00]J'étais triste et pensif quand je t'ai rencontrée,
[02:29.00]Je sens moins aujourd'hui mon obstiné tourment ;
[02:29.00]?? dis-moi, serais-tu la femme inespérée,
[02:29.00]Et le rêve idéal poursuivi vainement ?
[02:29.00]
[02:29.00]?? passante aux doux yeux, serais-tu donc l'amie
[02:29.00]Qui rendrait le bonheur au poète isolé,
[02:29.00]Et vas-tu rayonner sur mon ??me affermie,
[02:29.00]Comme le ciel natal sur un c??ur d'exilé ?
[02:29.00]
[02:29.00]Ta tristesse sauvage, à la mienne pareille,
[02:29.00]Aime à voir le soleil décliner sur la mer !
[02:29.00]Devant l'immensité ton extase s'éveille,
[02:29.00]Et le charme des soirs à ta belle ??me est cher.
[02:29.00]
[02:29.00]Une mystérieuse et douce sympathie
[02:29.00]Déjà m'encha??ne à toi comme un vivant lien,
[02:29.00]Et mon ??me frémit, par l'amour envahie,
[02:29.00]Et mon c??ur te chérit sans te conna??tre bien !
[02:29.00]Je sens moins aujourd'hui mon obstiné tourment ;
[02:29.00]?? dis-moi, serais-tu la femme inespérée,
[02:29.00]Et le rêve idéal poursuivi vainement ?
[02:29.00]
[02:29.00]?? passante aux doux yeux, serais-tu donc l'amie
[02:29.00]Qui rendrait le bonheur au poète isolé,
[02:29.00]Et vas-tu rayonner sur mon ??me affermie,
[02:29.00]Comme le ciel natal sur un c??ur d'exilé ?
[02:29.00]
[02:29.00]Ta tristesse sauvage, à la mienne pareille,
[02:29.00]Aime à voir le soleil décliner sur la mer !
[02:29.00]Devant l'immensité ton extase s'éveille,
[02:29.00]Et le charme des soirs à ta belle ??me est cher.
[02:29.00]
[02:29.00]Une mystérieuse et douce sympathie
[02:29.00]Déjà m'encha??ne à toi comme un vivant lien,
[02:29.00]Et mon ??me frémit, par l'amour envahie,
[02:29.00]Et mon c??ur te chérit sans te conna??tre bien !
文本歌词
J'étais triste et pensif quand je t'ai rencontrée,
Je sens moins aujourd'hui mon obstiné tourment ;
?? dis-moi, serais-tu la femme inespérée,
Et le rêve idéal poursuivi vainement ?
?? passante aux doux yeux, serais-tu donc l'amie
Qui rendrait le bonheur au poète isolé,
Et vas-tu rayonner sur mon ??me affermie,
Comme le ciel natal sur un c??ur d'exilé ?
Ta tristesse sauvage, à la mienne pareille,
Aime à voir le soleil décliner sur la mer !
Devant l'immensité ton extase s'éveille,
Et le charme des soirs à ta belle ??me est cher.
Une mystérieuse et douce sympathie
Déjà m'encha??ne à toi comme un vivant lien,
Et mon ??me frémit, par l'amour envahie,
Et mon c??ur te chérit sans te conna??tre bien !