LRC歌词
[05:21.00]"Je suis un créancier très patient
[05:21.00]Quand l’échéance est venue, je me fais payer quoi qu’il arrive."
[05:21.00]
[05:21.00]Merde, je conte mon vécu comme une pluie de coups
[05:21.00]Enfance, prise de cours
[05:21.00]Un de ces jours où ma mère n’avait plus de sous
[05:21.00]Mon rap nait dans la dèche, flèche dans la fraiche boue et
[05:21.00]Je me suis juré d’être preum's, pas derch'
[05:21.00]J’en veux au monde entier
[05:21.00]Entend qui marche sur mon sentier
[05:21.00]Enfanté dans l'amour, mes sentiments sont confus
[05:21.00]Confluent dans le lit de mes rêves d’une pièce exigüe
[05:21.00]Ma salive est empoisonnée
[05:21.00]Mes larmes sont de la cigüe
[05:21.00]Le ventre vide
[05:21.00]À pousser quelques notes faméliques hors de mon lexique
[05:21.00]J’évoque une existence pathétique
[05:21.00]Dix balles en poches par mois, dis-moi, c’est ridicule
[05:21.00]Tout comme taffer comme un clebs pour un bosse qui t’encule
[05:21.00]Je dépeins les bons moments, les mauvais moments
[05:21.00]Comment faire autrement
[05:21.00]Sinon mater l’avenir par un dormant
[05:21.00]Endormi par la lassitude
[05:21.00]Amère, ses sons sombres
[05:21.00]Habitué à vivre les chèques
[05:21.00]Mon verbe est sombre
[05:21.00]Petit poussé dans la jungle des ogres
[05:21.00]Arborant keffieh, jeans, baskets, sac de mots tuméfiés
[05:21.00]Méfie-toi, la mauvaise carte guette à chaque coin de rue
[05:21.00]Jette un regard sur le passé
[05:21.00]Collé, comprends ton avenir, tu comptes sur les autres
[05:21.00]Tu sèmes cacahuète
[05:21.00]C’est déjà si dur de grandir au Far West
[05:21.00]A l’Ouest, rien de nouveau
[05:21.00]Sinon ma face de rat dans les clips
[05:21.00]Je pète toujours pareil dans mon slip
[05:21.00]Comprends-moi bien
[05:21.00]
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Pousse au milieu des cactus, ma rancœur
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Je finis toujours le travail pour lequel on me paie
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Pousse au milieu des cactus, ma rancœur
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Quand je cherche quelqu’un, je le trouve toujours
[05:21.00]
[05:21.00]"Regarde-moi ce cochon de Sentenza:
[05:21.00]Lui au moins il a su se placer
[05:21.00]Tout de même, il aurait pas oublié les copains ?"
[05:21.00]"T’en fais pas, je ne les oublie pas les copains
[05:21.00]Surtout quand les amis viennent de si loin
[05:21.00]Et qu’ils ont tant de choses à me raconter."
[05:21.00]
[05:21.00]Tant de raisons de vivre vite
[05:21.00]Je sais, c’est pas une excuse, mais les tentations fusent
[05:21.00]Fusil dans le coffre, j’offre ma jeunesse à la légende
[05:21.00]Pas celle des livres, mais celle des blocks
[05:21.00]Ce qu’on a versé pour mes potes
[05:21.00]Dans le no man's land, les frères, on va où
[05:21.00]Elles sont loin les petites
[05:21.00]Couchées dans les champs de spigaous là où le barde frappe
[05:21.00]Et moi je fais le barbe, un juke barge
[05:21.00]Chasse de ma mémoire tant de flashs hard
[05:21.00]La pitié m’écoeure
[05:21.00]Je me reconnais plus dans mes actes
[05:21.00]C’est pas la faute à l’autre, ou à l’autre
[05:21.00]Mec, je jacte dans mon dialecte
[05:21.00]Sans toucher ni tact
[05:21.00]Chill est nada
[05:21.00]Du premier texte, ma pierre
[05:21.00]Je déclenche une intifada
[05:21.00]Simple personne, je fais confiance à personne
[05:21.00]Cherche pas la star dans ma face, mon nom est personne
[05:21.00]Appelle-moi Paisano si ça te chante
[05:21.00]Venge-toi si ça te tente
[05:21.00]Bave sur mon nom si ça te hante, idiot
[05:21.00]Les équivoques débutèrent ainsi
[05:21.00]De simples malentendus en absences
[05:21.00]On s’étonnait de plus me voir dans la rue
[05:21.00]Mais j’étais chez moi
[05:21.00]A bosser les rythmes, les rimes, les mélodies
[05:21.00]L’amour allait toujours vers mes amis
[05:21.00]C’est trop con, la vie est ainsi faite
[05:21.00]Dire qu’ils n’auront jamais su que c’était à eux
[05:21.00]Que je pensais quand j’écrivais
[05:21.00]Aujourd’hui, je vois les potes qui ont compris
[05:21.00]Ceux qui flippaient, ils sont partis
[05:21.00]La bouche pleine, criant que l’argent m’avait changé
[05:21.00]Pleins de préjugés
[05:21.00]Je crois qu’ils voulaient vraiment se venger
[05:21.00]Les choses changent et ne peuvent plus s’arranger
[05:21.00]Et tes propres frères deviennent étrangers
[05:21.00]C’est comme ça
[05:21.00]
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Pousse au milieu des cactus, ma rancœur
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Je finis toujours le travail pour lequel on me paie
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Pousse au milieu des cactus, ma rancœur
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Quand je cherche quelqu’un, je le trouve toujours
[05:21.00]
[05:21.00]"Sentenza, voilà les 500 dollars qui te reviennent."
[05:21.00]"Mais l’ennui, c’est que moi
[05:21.00]Je finis toujours le travail pour lequel on me paie..."
[05:21.00]Quand l’échéance est venue, je me fais payer quoi qu’il arrive."
[05:21.00]
[05:21.00]Merde, je conte mon vécu comme une pluie de coups
[05:21.00]Enfance, prise de cours
[05:21.00]Un de ces jours où ma mère n’avait plus de sous
[05:21.00]Mon rap nait dans la dèche, flèche dans la fraiche boue et
[05:21.00]Je me suis juré d’être preum's, pas derch'
[05:21.00]J’en veux au monde entier
[05:21.00]Entend qui marche sur mon sentier
[05:21.00]Enfanté dans l'amour, mes sentiments sont confus
[05:21.00]Confluent dans le lit de mes rêves d’une pièce exigüe
[05:21.00]Ma salive est empoisonnée
[05:21.00]Mes larmes sont de la cigüe
[05:21.00]Le ventre vide
[05:21.00]À pousser quelques notes faméliques hors de mon lexique
[05:21.00]J’évoque une existence pathétique
[05:21.00]Dix balles en poches par mois, dis-moi, c’est ridicule
[05:21.00]Tout comme taffer comme un clebs pour un bosse qui t’encule
[05:21.00]Je dépeins les bons moments, les mauvais moments
[05:21.00]Comment faire autrement
[05:21.00]Sinon mater l’avenir par un dormant
[05:21.00]Endormi par la lassitude
[05:21.00]Amère, ses sons sombres
[05:21.00]Habitué à vivre les chèques
[05:21.00]Mon verbe est sombre
[05:21.00]Petit poussé dans la jungle des ogres
[05:21.00]Arborant keffieh, jeans, baskets, sac de mots tuméfiés
[05:21.00]Méfie-toi, la mauvaise carte guette à chaque coin de rue
[05:21.00]Jette un regard sur le passé
[05:21.00]Collé, comprends ton avenir, tu comptes sur les autres
[05:21.00]Tu sèmes cacahuète
[05:21.00]C’est déjà si dur de grandir au Far West
[05:21.00]A l’Ouest, rien de nouveau
[05:21.00]Sinon ma face de rat dans les clips
[05:21.00]Je pète toujours pareil dans mon slip
[05:21.00]Comprends-moi bien
[05:21.00]
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Pousse au milieu des cactus, ma rancœur
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Je finis toujours le travail pour lequel on me paie
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Pousse au milieu des cactus, ma rancœur
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Quand je cherche quelqu’un, je le trouve toujours
[05:21.00]
[05:21.00]"Regarde-moi ce cochon de Sentenza:
[05:21.00]Lui au moins il a su se placer
[05:21.00]Tout de même, il aurait pas oublié les copains ?"
[05:21.00]"T’en fais pas, je ne les oublie pas les copains
[05:21.00]Surtout quand les amis viennent de si loin
[05:21.00]Et qu’ils ont tant de choses à me raconter."
[05:21.00]
[05:21.00]Tant de raisons de vivre vite
[05:21.00]Je sais, c’est pas une excuse, mais les tentations fusent
[05:21.00]Fusil dans le coffre, j’offre ma jeunesse à la légende
[05:21.00]Pas celle des livres, mais celle des blocks
[05:21.00]Ce qu’on a versé pour mes potes
[05:21.00]Dans le no man's land, les frères, on va où
[05:21.00]Elles sont loin les petites
[05:21.00]Couchées dans les champs de spigaous là où le barde frappe
[05:21.00]Et moi je fais le barbe, un juke barge
[05:21.00]Chasse de ma mémoire tant de flashs hard
[05:21.00]La pitié m’écoeure
[05:21.00]Je me reconnais plus dans mes actes
[05:21.00]C’est pas la faute à l’autre, ou à l’autre
[05:21.00]Mec, je jacte dans mon dialecte
[05:21.00]Sans toucher ni tact
[05:21.00]Chill est nada
[05:21.00]Du premier texte, ma pierre
[05:21.00]Je déclenche une intifada
[05:21.00]Simple personne, je fais confiance à personne
[05:21.00]Cherche pas la star dans ma face, mon nom est personne
[05:21.00]Appelle-moi Paisano si ça te chante
[05:21.00]Venge-toi si ça te tente
[05:21.00]Bave sur mon nom si ça te hante, idiot
[05:21.00]Les équivoques débutèrent ainsi
[05:21.00]De simples malentendus en absences
[05:21.00]On s’étonnait de plus me voir dans la rue
[05:21.00]Mais j’étais chez moi
[05:21.00]A bosser les rythmes, les rimes, les mélodies
[05:21.00]L’amour allait toujours vers mes amis
[05:21.00]C’est trop con, la vie est ainsi faite
[05:21.00]Dire qu’ils n’auront jamais su que c’était à eux
[05:21.00]Que je pensais quand j’écrivais
[05:21.00]Aujourd’hui, je vois les potes qui ont compris
[05:21.00]Ceux qui flippaient, ils sont partis
[05:21.00]La bouche pleine, criant que l’argent m’avait changé
[05:21.00]Pleins de préjugés
[05:21.00]Je crois qu’ils voulaient vraiment se venger
[05:21.00]Les choses changent et ne peuvent plus s’arranger
[05:21.00]Et tes propres frères deviennent étrangers
[05:21.00]C’est comme ça
[05:21.00]
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Pousse au milieu des cactus, ma rancœur
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Je finis toujours le travail pour lequel on me paie
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Pousse au milieu des cactus, ma rancœur
[05:21.00]Sentenza
[05:21.00]Quand je cherche quelqu’un, je le trouve toujours
[05:21.00]
[05:21.00]"Sentenza, voilà les 500 dollars qui te reviennent."
[05:21.00]"Mais l’ennui, c’est que moi
[05:21.00]Je finis toujours le travail pour lequel on me paie..."
文本歌词
"Je suis un créancier très patient
Quand l’échéance est venue, je me fais payer quoi qu’il arrive."
Merde, je conte mon vécu comme une pluie de coups
Enfance, prise de cours
Un de ces jours où ma mère n’avait plus de sous
Mon rap nait dans la dèche, flèche dans la fraiche boue et
Je me suis juré d’être preum's, pas derch'
J’en veux au monde entier
Entend qui marche sur mon sentier
Enfanté dans l'amour, mes sentiments sont confus
Confluent dans le lit de mes rêves d’une pièce exigüe
Ma salive est empoisonnée
Mes larmes sont de la cigüe
Le ventre vide
À pousser quelques notes faméliques hors de mon lexique
J’évoque une existence pathétique
Dix balles en poches par mois, dis-moi, c’est ridicule
Tout comme taffer comme un clebs pour un bosse qui t’encule
Je dépeins les bons moments, les mauvais moments
Comment faire autrement
Sinon mater l’avenir par un dormant
Endormi par la lassitude
Amère, ses sons sombres
Habitué à vivre les chèques
Mon verbe est sombre
Petit poussé dans la jungle des ogres
Arborant keffieh, jeans, baskets, sac de mots tuméfiés
Méfie-toi, la mauvaise carte guette à chaque coin de rue
Jette un regard sur le passé
Collé, comprends ton avenir, tu comptes sur les autres
Tu sèmes cacahuète
C’est déjà si dur de grandir au Far West
A l’Ouest, rien de nouveau
Sinon ma face de rat dans les clips
Je pète toujours pareil dans mon slip
Comprends-moi bien
Sentenza
Pousse au milieu des cactus, ma rancœur
Sentenza
Je finis toujours le travail pour lequel on me paie
Sentenza
Pousse au milieu des cactus, ma rancœur
Sentenza
Quand je cherche quelqu’un, je le trouve toujours
"Regarde-moi ce cochon de Sentenza:
Lui au moins il a su se placer
Tout de même, il aurait pas oublié les copains ?"
"T’en fais pas, je ne les oublie pas les copains
Surtout quand les amis viennent de si loin
Et qu’ils ont tant de choses à me raconter."
Tant de raisons de vivre vite
Je sais, c’est pas une excuse, mais les tentations fusent
Fusil dans le coffre, j’offre ma jeunesse à la légende
Pas celle des livres, mais celle des blocks
Ce qu’on a versé pour mes potes
Dans le no man's land, les frères, on va où
Elles sont loin les petites
Couchées dans les champs de spigaous là où le barde frappe
Et moi je fais le barbe, un juke barge
Chasse de ma mémoire tant de flashs hard
La pitié m’écoeure
Je me reconnais plus dans mes actes
C’est pas la faute à l’autre, ou à l’autre
Mec, je jacte dans mon dialecte
Sans toucher ni tact
Chill est nada
Du premier texte, ma pierre
Je déclenche une intifada
Simple personne, je fais confiance à personne
Cherche pas la star dans ma face, mon nom est personne
Appelle-moi Paisano si ça te chante
Venge-toi si ça te tente
Bave sur mon nom si ça te hante, idiot
Les équivoques débutèrent ainsi
De simples malentendus en absences
On s’étonnait de plus me voir dans la rue
Mais j’étais chez moi
A bosser les rythmes, les rimes, les mélodies
L’amour allait toujours vers mes amis
C’est trop con, la vie est ainsi faite
Dire qu’ils n’auront jamais su que c’était à eux
Que je pensais quand j’écrivais
Aujourd’hui, je vois les potes qui ont compris
Ceux qui flippaient, ils sont partis
La bouche pleine, criant que l’argent m’avait changé
Pleins de préjugés
Je crois qu’ils voulaient vraiment se venger
Les choses changent et ne peuvent plus s’arranger
Et tes propres frères deviennent étrangers
C’est comme ça
Sentenza
Pousse au milieu des cactus, ma rancœur
Sentenza
Je finis toujours le travail pour lequel on me paie
Sentenza
Pousse au milieu des cactus, ma rancœur
Sentenza
Quand je cherche quelqu’un, je le trouve toujours
"Sentenza, voilà les 500 dollars qui te reviennent."
"Mais l’ennui, c’est que moi
Je finis toujours le travail pour lequel on me paie..."